🚪 L’offboarding : partir en laissant tout en ordre
- Vincent Pollet
- 27 sept.
- 1 min de lecture
Une semaine après avoir parlé de l’onboarding, il est temps d’aborder l’autre côté de la pièce : la sortie d’un collaborateur. Comme son arrivée, ce moment est critique et nécessite méthode et rigueur.
💻 Décommissionner les accès : dès le départ, le collaborateur ne doit plus avoir accès aux systèmes d’information, applications cloud, messagerie ou VPN. Chaque oubli peut créer des risques de sécurité importants.
🖥️ Récupération et traitement du matériel : ordinateurs, téléphones, badges… chaque équipement doit suivre une procédure claire. Attention aux licences logicielles (Windows, Office, ERP, etc.) : laisser partir un ordinateur sans les désactiver revient à offrir une licence gratuite, coûtée à l’entreprise.
📄 Implications juridiques :
- Protection des données : l’entreprise doit s’assurer que le collaborateur n’emporte aucune donnée sensible ou confidentielle.
- Responsabilité contractuelle : les accords de confidentialité et clauses de non-concurrence doivent être rappelés et, si nécessaire, signés lors de la sortie.
- Conformité RGPD : toutes les données personnelles du collaborateur doivent être traitées conformément aux obligations légales.
🤝 Coordination RH & DSI : un offboarding sécurisé et efficace repose sur une collaboration étroite entre l’équipe RH, la DSI et le manager. Process, check-lists et rappels automatisés permettent de ne rien oublier.
🔑 Conclusion : un offboarding bien géré protège l’entreprise, sécurise ses actifs, et assure la conformité légale.
Chez 🟣 DSIACTIVE (🟡 GROUPEACTIVE), nous accompagnons les entreprises pour structurer leurs process d’offboarding, sécuriser les systèmes et anticiper les impacts juridiques.
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